En Dordogne, un ancien moulin est devenu un « écrin de sérénité ».
À Angoisse, un ancien moulin incendié dans les années 1950 a été transformé en cabanes, l’endroit idéal pour se déconnecter des réseaux sociaux et se reconnecter à la nature. À chaque virage, un paysage vallonné, un sentier, un ruisseau se dévoilent. Plus notre voiture s’enfonce dans le Périgord verdoyant, plus la nature apparaît verte, calme et reposante. Pourtant, au bout de la route, un panneau routier crée un contraste saisissant. « Angoisse » est le panneau qui marque l’entrée d’un petit village de 600 habitants en Dordogne. De nombreuses explications circulent quant à l’origine de ce nom. Certains affirment que la ville abritait autrefois « un repaire de bandits ». D’autres affirment qu’un lieu-dit abritait « une léproserie ». « La vérité est moins sensationnelle, car “engoischa” signifie “gorge” en occitan, un passage étroit et difficile, en raison de sa proximité avec les vallées de la Loue et de la Haute-Loue », explique le site web de la mairie.
Au bout d’une longue route sinueuse, un nouveau panneau annonce le Moulin de la Jarousse. C’est, promet la brochure et le bouche-à-oreille, l’endroit idéal pour se déconnecter des réseaux sociaux, du stress et se reconnecter à la nature. Le cadre de carte postale nous convainc immédiatement. C’est aussi ce cadre enchanteur, entre lac et forêt, qui a convaincu un Bordelais, tous deux, de venir passer quelques jours en Périgord. « Le travail est un peu compliqué en ce moment. Nous sommes épuisés. » « Nous voulions nous retrouver dans un endroit magnifique, mais isolé, pour nous évader. Nous avons trouvé la bonne adresse », confie un Français
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